De 1933 à 1945, la recherche médicale occupe une place privilégiée au sein du IIIème Reich. Pour valider son idéologie – la classification des races – le nazisme a besoin de la médecine et de ses praticiens. Plus de 70% des médecins allemands répondent à cet appel.
Un engagement qui coûte la vie à plusieurs milliers de déportés utilisé comme cobayes d’expériences. Petit-fils de déportés, Michel Cymes retrace le parcours de certains de ces « docteurs » et cherche à comprendre comment ceux qui ont, comme lui, prêté le serment d’Hippocrate, on pu commettre de telles atrocités.